Le renouvellement d’air, qu’il se réalise par une aération naturelle ou via un système de ventilation, est incontournable pour éliminer la pollution de l’air intérieur. C’est le seul geste qui agit sur l’intégralité des polluants, quelle que soit leur nature, en les « diluant ». Il réduit également le taux d’humidité dans votre maison.
Ce geste est-il suffisant ?
En pénétrant dans le bâtiment, l’air venu de l’extérieur transporte avec lui particules fines, pollens, bactéries, allergènes et autres polluants pouvant être nocifs pour la santé. S’équiper d’un purificateur d’air, qui peut éliminer jusqu’à 99% des particules polluantes, est donc très utile !
Alors, pourquoi ces équipements pâtissent-ils parfois d’une mauvaise réputation ?
Après avoir publié sur notre blog un guide complet expliquant les différentes technologies pour purifier l’air, leurs atouts et inconvénients, nous vous proposons aujourd’hui une synthèse des risques qui leur sont associés, et bien sûr des bonnes pratiques pour bénéficier d’un air pur en toute sérénité.
Certains purificateurs s’appuient sur des technologies ou des matériaux qui peuvent être nocifs. Comment les identifier et quels sont leurs impacts ?
C’est le cas des filtres HEPA, souvent fabriqués avec des microfibres de verre. Leur entretien doit se faire avec précaution : une mauvaise manipulation pourrait vous exposer à ce matériau, qui présente un risque cancérogène. Les déchets doivent être traités avec vigilance et leur recyclage est encadré.
Certaines technologies de purification présentent le danger d’une réaction incomplète : la décomposition chimique des polluants visés peut alors générer des polluants secondaires irritants, voire même parfois plus toxiques que le composant éliminé ! C’est le cas de : .
Le danger du rayonnement UV-C, utilisé par la photocatalyse ou par les lampes à ultraviolet, diffère selon la longueur d’ondes :
Irritant pour les membranes et les muqueuses, pouvant provoquer des problèmes respiratoires, l’ozone est efficace à partir de concentrations dangereuses pour la santé. La purification de l’air par ozonation est donc réservée à un usage en milieu médical ou industriel et se fait impérativement en dehors de toute présence.
L’ozone peut aussi être émis par d’autres technologies de purification de l’air. Comme précisé dans les paragraphes précédents, c’est le cas du plasma froid ou de certaines longueurs d’ondes pour les technologies par rayonnement UV-C. Certaines méthodes d’ionisation ou d’électrofiltration sont aussi concernées.
Conscient des atouts de l’ionisation de l’air pour la santé, mais aussi de ce risque de génération d’ozone, TEQOYA s’est appuyée sur 15 ans de recherche pour mettre au point une technologie d’ionisation de l’air sans ozone. Retrouvez plus de détails sur notre technologie ici.
Bien connaître les technologies de purification de l’air, est-ce suffisant pour supprimer tous les dangers de votre appareil ?
Chaque technologie de purification de l’air dispose d’avantages, d’inconvénients et agit sur différents types de polluants. Pour plus de détails, nous vous invitons à consulter notre guide complet : bien choisir son purificateur d’air.
Une solution mal adaptée à la nature du polluant, à la taille de la pièce, aux habitudes des occupants… n’apportera pas une efficacité optimale. Par exemple, un produit très performant mais bruyant, installé dans une chambre, sera peut-être très peu utilisé et donc n’apportera aucun bénéfice pour la santé de ses occupants.
Comme nous l’avons expliqué dans notre expérimentation chez un ébéniste, le positionnement du ou des appareils purificateurs d’air dans une pièce est un critère essentiel pour atteindre une bonne efficacité. Cette dimension est suffisamment importante pour que le CETIAT (Centre Technique des Industries Aérauliques et Thermiques) ait lancé un projet visant à établir des règles d’implantation. Il en résulte que plusieurs purificateurs de puissance moyenne sont plus efficaces qu’un seul purificateur plus puissant, et ceci pour une différence acoustique peu perceptible.
Certaines technologies peuvent être très impactée par les conditions ambiantes : température, humidité, taux de pollution. C’est le cas du charbon actif, dont l’efficacité réelle est donc difficile à maîtriser et à anticiper.
Une fois équipé d’un purificateur d’air, le danger est aussi de de se sentir protéger et de ne compter que sur la technologie pour bénéficier d’une bonne qualité de l’air dans sa maison.
Maisaérer votre logement doit toujours rester un réflexe !En effet, chaque technologie de purification de l’air agit sur des composants différents : renouveler l’air est la seule méthode qui permette de réduire la concentration de l’ensemble des polluants présents à l’intérieur des bâtiments.
Un purificateur d’air peu entretenu ou mal nettoyé perd en efficacité, peut devenir inutile voire même diffuser des moisissures ou bactéries que ses filtres ont accumulées.
Selon la technologie, la performance se dégrade plus ou moins rapidement. Par exemple, un filtre HEPA ou à charbon actif doit être remplacé environ tous les 6 mois, avec, comme vu plus haut, une manipulation à faire avec précaution concernant le filtre HEPA, de façon à ne pas être exposé aux microfibres de verre que beaucoup d’entre eux possèdent.
Remplacer le filtre a aussi un double coût :
D’autres technologies n’ont pas de consommables jetables : seul un nettoyage régulier est suffisant, mais celui-ci peut s’avérer complexe. Par exemple, en raison du fort pouvoir oxydant des composés chimiques du plasma, son entretien est délicat. A l’inverse, les électrofiltres et l’ionisation, dont il suffit de nettoyer respectivement les plaques et les aiguilles avec un simple chiffon humide sont très faciles d’entretien, ce qui facilite leur efficacité sur le long terme.
C’est bien sûr à partir de ces deux derniers principes que TEQOYA a choisi de développer ses produits : son approche innovante appuyée sur des années de recherche lui a permis de compéter leurs atouts, déjà nombreux, pour obtenir des solutions sans émission d’ozone.
Les polluants de l’air sont diversifiés, viennent de l’extérieur ou sont émis par l’activité quotidienne : ménage, cuisine, mobilier, animaux…
Pour vous assurer de la qualité de l’air que vous respirez chez vous, le meilleur moyen est de la mesurer ! Ici encore, toutes les méthodes ne se valent pas. Par exemple, l’indicateur de référence pour les particules fines, PM2.5, indique la masse de toutes les particules ayant une taille inférieure à 2,5 microns, par unité de volume. Pourtant, les particules les plus dangereuses sont les plus petites, et donc leur masse est très faible.
TEQOYA a développé un capteur de la qualité de l’air associant :
Celui-ci est associée à une application, AirObserver, qui propose aussi une évaluation de la qualité de l’air extérieur dans une granularité très fine autour de votre logement, et des recommandations sur les bons gestes à adopter en fonction de votre contexte.
Vous pouvez bénéficier de toutes les fonctionnalités de ces solutions pendant un mois, sans engagement, avec notre offre Tester Mon Air !
Les milieux naturels sont riches en ions négatifs. C'est précisément sur ce principe que repose l'ioniseur d'air. Mais savez-vous comment ce système réussit à attaquer les particules de pollution contenues dans l'air intérieur pour purifier de votre maison ?
Vous avez été nombreux à nous poser la question. Est-ce que le purificteur d'air TEQOYA est efficace contre le COVID-19 ? Nous apportons une réponse détaillée dans notre article.
Purifier votre air intérieur tout en protégeant votre santé et la planète, c'est possible. Par la consommation rationnelle d'énergie et des ressources, TEQOYA s'efforce de concevoir des produits respectueux de l'environnement.