Respirer est l'une des rares actions que nous réalisons sans en avoir conscience. Nous sommes naturellement attentifs à l'eau ou à l'alimentation que nous ingérons... mais rarement à la qualité de l'air - dont nous inhalons pourtant 12 000 litres chaque jour - et encore moins à la qualité de l'air intérieur, alors que nous sommes dans des environnements clos 90% du temps et que ceux-ci peuvent être jusqu'à 8 fois plus pollués que l'air extérieur. La donne change progressivement : les effets de la qualité de l'air sur la santé sont admis comme un enjeu de santé publique 1 et la crise sanitaire a rappelé à quel point l'air intérieur peut être vecteur de transmission des maladies. Parallèlement, la transformation du rapport au travail au sein des jeunes générations et la prise de conscience des enjeux RSE encouragent les entreprises à mieux prendre en compte la qualité de vie au travail de leurs salariés.
« Protéger la santé de nos clients et de nos collaborateurs est une priorité absolue, c'est pourquoi aujourd'hui nous mettons tout en œuvre pour aménager nos locaux avec le plus grand soin. »
(Témoignage de l'entreprise Dynveo, laboratoire français en nutraceutique et utilisateur des purificateurs d'air TEQOYA)
Même animée par les meilleures intentions, l'entreprise ne peut s'extraire des contraintes économiques qui conditionnent sa pérennité. Plus les bénéfices d'un investissement sont nombreux, plus l'entreprise pourra le déployer efficacement et rapidement pour tous ses salariés.
Les effets d'une bonne qualité de l'air intérieur sont-ils uniquement l'amélioration de la qualité de vie au travail ? Quels peuvent-être ses autres bénéfices ? Quels sont les points de vigilance à observer pour ne pas dégrader d'autres dimensions du cadre de travail ? Nous vous proposons quelques éléments d'analyse spécifiques au secteur tertiaire et aux locaux de bureaux, afin de démontrer en quoi la QAI est aussi un levier de productivité pour les entreprises2.
Selon les collaborateurs eux-mêmes, l'environnement de travail a une influence importante ou très importante sur leur « capacité à se concentrer » (pour 92 % d'entre eux) et leur « productivité » (89 %)3. Des études scientifiques viennent étayer ce ressenti de la part des salariés.
Plusieurs études réalisées sur les liens entre QAI et performances cognitives montrent qu'optimiser la qualité de l'air respiré par ses salariés contribue à améliorer non seulement leur bien-être, mais également leurs performances cognitives.
Certaines soulignent les effets positifs d'une bonne QAI :
Tandis que d'autres observent les impacts négatifs d'une QAI médiocre :
Les virus voyagent dans l'air, nous les diffusons en toussant, parlant ou même en respirant. Ces particules légères peuvent rester plusieurs minutes en suspension et être inhalées par d'autres personnes. Chaque année, aux 3 à 10 % de la population touchés par la grippe, il faut ajouter les atteintes du système respiratoire comme les rhinites ou les bronchites.
Selon une synthèse bibliographique récente13, les enquêtes menées dans divers pays suggèrent que 20 à 25 % des contacts hebdomadaires entre personnes saines et infectées ont lieu dans leur activité professionnelle, alors que les études de modélisation suggèrent qu'en moyenne 16 % (entre 9 et 33 %) des transmissions de la grippe surviennent sur le lieu de travail.
La pandémie Covid-19 a mis en lumière ce phénomène : selon une étude de l'Institut Pasteur14 sur les lieux de transmission de la Covid, environ 29% des contaminations hors-foyer ont lieu dans le milieu professionnel.
Pour la grippe comme pour la Covid-19, de nombreuses personnes infectées se rendent à leur bureau, à leur insu ou non. Une entreprise a donc tout intérêt à agir pour limiter la transmission des virus par voie respiratoire : en appliquant les mesures barrières mais aussi en améliorant la qualité de l'air dans ses locaux, la réduction des arrêts maladie pourrait atteindre 20 %15.
Un Français sur quatre souffre d'asthme ou d'une allergie respiratoire.La prévalence des allergies ne fait qu'augmenter dans les pays développés et 10 à 15 % des asthmes ont une origine professionnelle 16.
L'Académie Nationale de Médecine indique notamment que les allergies respiratoires sont la première cause de perte de productivité dans le monde, devant les maladies cardiovasculaires. La rhinite allergique persistante serait responsable en France d'environ 7 millions de journées de travail perdues, pour un coût total avoisinant le 1 milliard d'euros17.
Plus largement, une mauvaise qualité de l'air peut provoquer ou accroître, même chez les personnes sans problème respiratoire, des maux de tête, de la fatigue, une irritation des yeux ou de la gorge... autant de situations inconfortables qui impactent directement les capacités des individus, et ce à tout âge. A titre d'exemple, l'absentéisme scolaire augmente de 10 à 20% en primaire pour une augmentation de 1000ppm de CO218.
L'amélioration de la qualité de l'air sur le lieu de travail ne se limite donc pas à la meilleure prise en compte des salariés allergique, mais il s'agit bien d'un enjeu RSE concernant toutes les parties prenantes : le lieu de travail doit être sain pour ne pas devenir lui-même un facteur de développement de maladies respiratoires.
Le rapport au travail des jeunes générations est transformé : elles attendent de l'entreprise une prise en compte des enjeux sociétaux, environnementaux et sanitaires. Dans l'équilibre des priorités entre qualité de vie et réussite professionnelle, elle donne une place bien plus importante que ses aînés à la 1ère dimension. Pour s'investir pleinement, elles s'attachent à l'image de marque de leur entreprise, à condition que celle-ci soient appuyée sur des actions réelles et non uniquement sur des opérations de communication.
Une entreprise qui prend soin de l'environnement de travail de ses employés est perçue positivement. Selon l'étude citée précédemment19, il s'agit d'une dimension importante pour la « convivialité » (pour 90 %), le « plaisir à venir travailler » (89 %), la « perception de la considération que porte l'entreprise à ses salariés » (83%), la « fierté de travailler pour leur entreprise » (73 %), le « stress » (79 %) et la « créativité » (74 %).
Recruter et former un nouveau collaborateur est un investissement pour l'entreprise qui s'amortit sur le long terme : un fort turn-over est un frein au développement de l'activité. Dans un contexte de concurrence exacerbée, où les difficultés de recrutement et de fidélisation impactent de nombreux secteurs d'activité, les entreprises ne peuvent pas faire l'impasse sur des conditions de travail saines et agréables pour renforcer l'engagement de leurs collaborateurs.
Plusieurs assemblées générales de grands groupes considérés comme peu vertueux ont été bousculées au printemps 2023. Au-delà de l'aspect militant de certaines actions, elles marquent une tendance de l'ensemble des acteurs économiques à attendre des entreprises une meilleure exemplarité dans leur prise en compte des enjeux environnementaux, sanitaires et sociétaux.
L'émergence de modes de financement alternatifs et participatifs, les prêts verts, l'indexation des intérêts sur la dimension vertueuse des projets, la montée en puissance des critères ESG pour les fonds d'investissements, le développement de labels visant à souligner le bien-être au travail des entreprises sont autant de facteurs qui encouragent les entreprises à mieux prendre en compte la santé de leurs salariés, gage d'une image positive auprès des investisseurs, clients, médias... et par conséquent de l'obtention de financements ou de nouveaux marchés.
Pour résumer, une bonne qualité de vie au travail et donc, une bonne qualité de l'air, permet à l'entreprise d'améliorer la performance de ses salariés, de les fidéliser et de mieux répondre aux attentes des parties prenantes. C'est donc un élément constitutif de la productivité et de la pérennité de leur activité.
Attention néanmoins à ne pas perdre de vue une approche globale, sans laquelle une bonne qualité de l'air n'aurait que peu de sens. Nous vivons dans un univers multisensoriel. Le bien-être doit être entendu dans toutes ses dimensions : la QAI bien sûr, mais aussi le confort acoustique, visuel, psychologique...
Des expériences de design sensoriel ont été menées, notamment par le cabinet d'architectes italien Il Prisma, montrant comment l'ensemble des 5 sens impactent la concentration, la mémorisation et l'apprentissage.
Le bruit est la première nuisance au travail, et ceci également pour les salariés du secteur tertiaire. 6 actifs sur 10 déclarent être gênés à cause des nuisances sonores, 1 sur 5 positionne le bruit émanant des matériels utilisés comme l'une des principales sources de gêne et 1 sur 2 affirme que le bruit engendre une perte de productivité20.
Le bien-être passe également par la dimension agréable visuellement du cadre de travail, l'esthétique et la discrétion des équipements.
Enfin, le cadre bâti est construit pour l'Homme mais doit aussi préserver la planète pour les générations futures. Les exigences de performance environnementales s'imposent désormais aux bâtiments de bureaux - qu'il s'agisse de constructions neuves avec la RE2020 ou existants avec le Décret Tertiaire - et imposent aux entreprises des objectifs ambitieux de réduction de leur consommation énergétique. L'amélioration de la qualité de vie au travail doit prendre en compte ces impératifs pour ne pas impacter l'empreinte carbone des bâtiments de bureaux.
Cet article a démontré la nécessité pour les entreprises d'améliorer la qualité de vie au travail, en particulier la qualité de l'air, pour une meilleure productivité ; et ceci en évitant de dégrader l'environnement visuel et acoustique. Il est important également de trouver des solutions qui ne dégradent pas leur impact carbone et soient rapides, faciles à installer et à entretenir.
Créé en 1981 par Roland Beaumanoir, le Groupe Beaumanoir est l'un des premiers acteurs du prêt-à-porter en France. De son port d'attache de Saint-Malo aux portes de l'Asie à Shanghai, il habille les hommes et les femmes aux couleurs de ses marques : Cache-Cache, BRÉAL, Bonobo, Scottage et Morgan.
En 2017, Romain Millet, alors CEO de Beaumanoir en Chine, où la pollution est un problème de santé publique, a fait le choix d'équiper les 2000m2 de bureaux, accueillant 400 salariés, de purificateurs d'air TEQOYA pour garantir leur bien-être au travail et protéger plus globalement leur santé.
Après un appel d'offres lancé auprès de plusieurs sociétés spécialisées dans ce domaine, il a sélectionné TEQOYA pour 3 raisons prioritaires :
Deux autres points peuvent être mentionnés, même si leur impact a été moindre dans le choix de Beaumanoir :
La solution mise en place par TEQOYA a fait l'objet de deux campagnes de mesure, à une semaine d'intervalle, pour valider son efficacité. Résultat : une pollution aux particules divisée par trois dans les locaux du Groupe ! Dans le cadre d'espace aussi vastes, ce résultat est particulièrement remarquable.
Pour contribuer au bien-être de vos salariés et favoriser leur productivité, vous aussi, adoptez une solution de traitement de l'air confortable, éco-responsable, sobre en énergie, insonore et au design soigné ! Contactez-nous à l'adresse mail contact@teqoya.com.
Sources
Les milieux naturels sont riches en ions négatifs. C'est précisément sur ce principe que repose l'ioniseur d'air. Mais savez-vous comment ce système réussit à attaquer les particules de pollution contenues dans l'air intérieur pour purifier de votre maison ?
Vous avez été nombreux à nous poser la question. Est-ce que le purificteur d'air TEQOYA est efficace contre le COVID-19 ? Nous apportons une réponse détaillée dans notre article.
Purifier votre air intérieur tout en protégeant votre santé et la planète, c'est possible. Par la consommation rationnelle d'énergie et des ressources, TEQOYA s'efforce de concevoir des produits respectueux de l'environnement.