Selon l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), la pollution atmosphérique tue environ sept millions de personnes dans le monde chaque année. Notamment en raison de l'augmentation de la mortalité due aux accidents vasculaires cérébraux, aux maladies cardiaques, aux cancers du poumon... L'OMS indique également que 4,2 millions de décès en 2016 sont dus à la pollution atmosphérique et 3,8 millions sont causés par la pollution domestique (cuisson avec des combustibles et des technologies polluants).
Bien que la situation se soit améliorée au cours des dernières années, les concentrations de particules et d'oxydes d'azote dans certaines villes dépassent encore les normes européennes. Voici donc quelques mesures à mettre en oeuvre afin d'améliorer la qualité de l'air et de s'en protéger.
En France, le transport de voyageurs émet environ 75 millions de tonnes de dioxyde de carbone chaque année. Selon le ministère de l'Environnement et des Transports, les automobiles représentent 92% de ces émissions. Néanmoins, il est possible d'agir et de diminuer cette pollution en empruntant des moyens de transports plus doux. En optant pour les transports en commun, une personne consomme environ trois fois moins d'énergie et émet jusqu'à 50 fois moins de gaz à effet de serre qu'en utilisant son véhicule personnel. Pour les plus petits trajets, la marche et le vélo sont des modes de déplacement rapides et bénéfiques pour la santé et l'environnement.
D'après le Groupe d'Experts Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat (GIEC), les énergies consommées au quotidien ont un impact significatif sur l'environnement et sur la santé. Par exemple, depuis 1970, les combustibles fossiles (charbon, gaz naturel et pétrole dans nos voitures) représentent 78% des émissions de dioxyde de carbone de la planète. Afin d'économiser autant d'énergie que possible, et donc réduire la pollution, toute consommation d'énergie inutile doit être évitée. Lors d'un voyage par exemple, il est conseillé de débrancher les équipements électriques et de ne pas les mettre en veille. En effet, la mise en veille d'un équipement électrique consomme une grande quantité d'énergie.
Le chauffage est le principal pôle de dépense énergétique d'un foyer, penser à isoler son logement et à diminuer la température permet de faire des économies d'énergie. En effet, le corps se réchauffe naturellement pendant le sommeil sous la couette. En journée, une température de 19°C est suffisante dans les pièces à vivre ainsi que dans les chambres.
Lorsque le plastique est produit, il est fabriqué à partir de matières toxiques comme le benzène et le chlorhydrate de vinyle. Ces produits chimiques sont connus pour provoquer des cancers, et les sous-produits de fabrication contaminent l'air et les sols de la planète. Penser à bannir les pailles, à privilégier une gourde aux bouteilles et à arrêter les sacs en plastique à usage unique par exemple, peuvent limiter la consommation et ainsi réduire les déchets plastiques.
Bien qu'il s'agisse de décisions gouvernementales pour éviter totalement les polluants atmosphériques, il existe certaines mesures que nous pouvons prendre au quotidien pour s'en protéger.
En se concentrant récemment sur les variations hyper-locales des niveaux de pollution, les chercheurs ont constaté qu'au sein d'une même ville - voire d'un même quartier - les individus absorbent des quantités différentes de polluants, en fonction de l'endroit où ils vivent et de leurs habitudes. Pour Frank Kelly, directeur du groupe de recherche environnementale au King's College de Londres, éviter les routes les plus fréquentées peut réduire de moitié la pollution qu'un individu respire. Le choix de l'itinéraire est aussi important pour les conducteurs que pour les piétons, car les gaz d'échappement peuvent se concentrer à l'intérieur d'une voiture. Au cœur du trafic quotidien, la concentration de dioxyde d'azote est dix fois plus élevée à l'intérieur du véhicule qu'à l'extérieur.
Pour se protéger des particules polluantes, il convient d'utiliser un masque aux normes européennes. En Europe, ceux qui sont certifiés FFP 2 ou 3 (Filtering Facepiece Particles level 3) sont les plus réputés. Jetables et de différents types, ils protègent des poussières, des virus grippaux tels que le COVID-19, et des particules fines. Néanmoins, pour son efficacité optimale, certaines conditions doivent être respectées autant que possible : appliquer correctement le masque sur les ailes du nez, ne pas le toucher pour éviter qu'il se décharge électriquement, le jeter après une durée maximale de 4h...
Se protéger de la pollution extérieure oui, mais saviez-vous que l'air intérieur est 5 à 10 fois plus pollué que l'air extérieur ? Non seulement les polluants extérieurs, créés entre autres par le trafic s'infiltrent dans les logements par les conduits de ventilation, portes et fenêtres, mais en plus l'air intérieur est également pollué par les vapeurs et fumées de cuisine, produits ménagers, poussière, fumée de cigarette, bougies etc. D'où l'intérêt d'opter pour un purificateur d'air. Les purificateurs d'air TEQOYA produisent des ions négatifs qui suppriment les particules polluantes même les plus fines (ce sont les plus dangereuses car elles s'introduisent au plus profond des poumons ainsi que dans le sang).
Les milieux naturels sont riches en ions négatifs. C'est précisément sur ce principe que repose l'ioniseur d'air. Mais savez-vous comment ce système réussit à attaquer les particules de pollution contenues dans l'air intérieur pour purifier de votre maison ?
Vous avez été nombreux à nous poser la question. Est-ce que le purificteur d'air TEQOYA est efficace contre le COVID-19 ? Nous apportons une réponse détaillée dans notre article.
Purifier votre air intérieur tout en protégeant votre santé et la planète, c'est possible. Par la consommation rationnelle d'énergie et des ressources, TEQOYA s'efforce de concevoir des produits respectueux de l'environnement.