Nombreuses sont les informations qui circulent concernant la qualité de vie qui nous entoure, et encore plus celle de nos voisins. L'herbe peut être plus verte ailleurs, mais l'air, lui, l'est rarement. La qualité de l'air est le problème de tous les citadins de la planète, et même dans les coins les plus reculés, la pollution globale est présente.
Le rapport entre la population et la répartition des richesses est un des critères les plus récurrents dans les études dédiées à localiser les endroits les plus pollués de la planète. Loin d'être un problème nouveau, le continent Européen était il y a encore quelques générations, en proie à un combat constant entre les impératifs sanitaires et le développement de la population urbaine. La question a pour un temps trouvé une réponse, mais loin d'être un souvenir du passé, elle revient sans cesse dans de nouveaux espaces pour nous rappeler les conséquences de l'exploitation industrielle sur la planète.
L'Inde, encerclée de zones industrielles en développement, donne souvent ses villes comme mauvais élève : Gwalior est connu pour son fort millénaire, et maintenant pour la (très) mauvaise qualité de son air.
La ville jumelle d'Islamabad au Pakistan a beaucoup profité du développement économique de sa soeur, et bon nombre de ses habitants vivent de l'industrie du textile qui concourt à la pollution ambiante. Le calcul de la sa pollution atmosphérique donne à compter 448 µg/m3. Non loin d'ailleurs, le centre économique de Peshawar accueille en plus de ses 1,5 millions d'habitant, des dizaines de milliers de réfugiés non recensés. Terrain d'affrontements réguliers, la dégradation ne cesse de progresser dans la quantification mondiale de la pollution causée par les énergies pétrochimiques.
A la croisée de l'Ouzbékistan et du Tadjikistan, Mazar-e Sharif vit du commerce, de l'agriculture mais aussi de l'exploitation pétrolière et du gaz naturel. Ville majeure économiquement s'il en est, elle rivalise presque avec Al Jubail, en Arabie Saoudite, dont la quatrième place sur le podium des industries pétrochimiques les plus prolifiques au monde met en péril la santé de ses quelques 400 000 habitants. Avant de continuer l'exploration, l'Arabie Saoudite a encore un mot à dire à ce sujet : sa capitale, Riyad, est la ville la plus peuplée du pays mais donne un seuil de toxicité de 368 µg/m3.
Le temps de traverser le continent voisin, et non loin de la côte nigériane, l'exploitation du pétrole et du gaz fait encore rage au milieu de l'acheminement des pipelines de la ville d'Aba, d'Onitsha ou de Kaduna. Textile, automobile, pétrole. Encore des noms qui deviennent aussi familiers pour le million d'habitants qui côtoient ce type d'exploitation jour et nuit.
Bien que les noms de ces villes soient donnés à titre informatif, la liste change régulièrement pour quelques espaces qui se disputent les premières places. Au vu de l'exploitation des énergies croissantes, il n'est pas surprenant de constater la concentration de la pollution atmosphérique dans les pôles d'exploitation les plus intenses. Vous songiez à partir en vacances là où l'air est plus pur? Un peu d'air marin pour oublier tout cela? D'autres études rappellent encore que l'air sur les bateaux de croisières est d'une qualité encore bien plus médiocre que dans les cités les plus dégradées. Alors, bon vent?
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